dimanche 1 mai 2016

Visual basic: Créer un générateur de code

Visual basic: Créer un générateur de code [épisode 1 ... Vidéo pour "Générateur de code visual basic"▶ 14:49 https://www.youtube.com/watch?v=dOqMJrVCWC0 11 avr. 2013 - Ajouté par NophizHD Donc nous voici pour un projet, il consiste a créer par étape un générateur de code de DLC black ops 2, je tient ... [TUTO] Comment Créé un Générateur de Code Avec Visual ... Vidéo pour "Générateur de code visual basic"▶ 11:17 https://www.youtube.com/watch?v=ejXIL-vNyGw 15 juin 2014 - Ajouté par AstrO-MoDz-Lobby [TUTO] Comment Créé un Générateur de Code Avec Visual Basic ... +Nino Hack j'ai le même problème avec un ... [Tutoriel] Générateur de Mot-de-Passe [Visual-Basic ... Vidéo pour "Générateur de code visual basic"▶ 2:55 https://www.youtube.com/watch?v=DfQe9m8WdJY 16 oct. 2012 - Ajouté par Balk Gaspard The First tutoriel sur Visual-Basic.. Comment réaliser un générateur de mot-de-passe.. Lien pour le code ... Créer un générateur de code - OpenClassrooms openclassrooms.com › Forum › Programmation › Langages.NET 22 juil. 2013 - Je dispose de Microsoft Visual Basic 2010 Express et je souhaiterais créer un générateur de code de 8 caractères, pouvant contenir des ... Visual Basic / VB.NET : Générateur de mots de passe ... codes-sources.commentcamarche.net › ... › Sources VBScript 10 mai 2011 - Sources Visual Basic / VB.NET ... Générateur de mots de passe ... Ce code peut fonctionner soit en l'exécutant sous Windows soit dans internet ... Visual Basic / VB.NET : [vb 2005] générateur de code 39 (code ... codes-sources.commentcamarche.net › ... › Sources Graphique 2 avr. 2010 - Petite appli de génération de codes-barres en symbologie "Code 39" sous forme de bitmaps; * Pour info : l'article Wikipedia en anglais (... Visual Basic / VB.NET : Générateur des codes vba à intégrer ... codes-sources.commentcamarche.net › ... › Sources VBA 15 nov. 2012 - GvbaCode est un logiciel générateur des codes VBA qui est encore à sa première version 1.0, Ce logiciel permet à l'utilisateur d'éditer ses... Visual Basic / VB.NET : Générateur de code 128 (code ... codes-sources.commentcamarche.net › ... › Sources Graphique 24 févr. 2010 - Petite appli pour générer du code-barre en symbologie "Code 128" sous forme de bitmap; J'ai implémenté l'algo d'optimisation de ... Leçon 1 : création du projet Visual Studio du générateur de ... https://technet.microsoft.com/fr-fr/library/ms167274(v=sql.105).aspx Leçon 1 : création du projet Visual Studio du générateur de langage RDL ... Un fichier de code portant le nom par défaut Program.cs (Module1.vb pour Visual ... Reegenerator - Code Generator www.reegenerator.com/ Traduire cette page Best code generator for Microsoft Visual Studio. ... VB. Database: read the data/schema using your favorite database libraries; Use multiple generators on a ...

Le citizen developer

[Actualité] Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist Note : 3 votes pour une moyenne de 5,00. 2 Commentaires Aller au premier nouveau commentaire par MarieKisSlaJoue , 26/04/2016 à 09h30 (125 Affichages) L’agilité est de plus en plus recherchée par les entreprises. L’informatique essaye elle aussi de l’être de plus en plus pour répondre aux besoins du métier et pour y parvenir, plusieurs techniques se sont développées. Cependant, même si des méthodologies se sont développées, la DSI reste d’un point de vue du métier souvent considérée comme un frein. De plus, certains besoins métier sont très ponctuels, les métiers sont donc peu enclins à laisser la DSI proposer une solution qui pourrait mettre du temps à arriver et sans être aussi efficace que souhaitée. Pour faire face à cette problématique, les métiers ont donc commencé à élaborer une nouvelle façon de consommer de l’informatique. Quelles sont-elles et pourquoi la DSI n’arrive pas à faire aussi bien, sont les réponses que nous tenterons d’apporter. Le citizen developer On sait qu’une des solutions pour une entreprise d’être agile, c’est de passer par des prestataires que l’on peut arrêter assez rapidement quand on n'en a plus besoin. Un concept intéressant est arrivé ces derniers temps, il s’agit du « Citizen Developer » Le Citizen Developer est un utilisateur final qui crée une application avec les outils offerts par la DSI. Imaginez que la DSI offre des services tels que le transfert de fichiers ou du stockage de données, le métier peut alors très bien avec son Citizen Developer créer une application métier en toute sécurité qui utilise ces services approuvés. Par définition le Citizen Developer est très proche du métier, il lui est rattaché directement. Cette proximité, que n’a pas forcément la DSI, permet aux petites solutions d’être développées facilement et de façon sûre, car avec l’infrastructure de la DSI. La ressource externe pourra être très vite congédiée, en revanche l’application qu’elle aura développée pourra être conservée et maintenue par la DSI, car elle reposera sur les technologies maitrisées de l’entreprise. Le Citizen Developer va devenir de plus en plus présent dans les entreprises, Quentin Adam, CEO Clever Cloud a dit lors de sa conférence Web2day 2015 que tout comme le métier de dactylographe n’existe plus de nos jours, le métier de développeur finira lui aussi par ne plus être nécessaire. « Développer, c’est une compétence que les gens vont acquérir » (Conférence de Quentin Adam lors du Web2day en 2015 intitulé « L'évolution de l'industrie informatique » : ). Rien ne dit toutefois que nous passerons très vite de l’état actuel à celui de métier composé de « Business Architect » comme Quentin Adam aime les appeler. Cependant si nous prenons l’exemple des nouveaux métiers de l’informatique qui commencent à apparaitre, on découvre de nouveaux types de profils qui pourraient bien être les Business Architect de demain. Le métier de Data Scientist est par exemple très récent. Le terme s’est fait connaitre en 2008 (voir le livre écrit par Pirmin Lemberger, Marc batty Médéric Model et Jean-Luc Raffaëlli « Big Data et machine learning » : Chapitre 5 le quotidien du Data Scientist) quand DJ Patil et Jeff Hammerbacher, employé chez Facebook et Linkedin se sont autoproclamés Data Scientist. Depuis 2012, on constate que la courbe de popularité de ce mot ne cesse d’augmenter. Courbe de popularité du mot Data Scientist sur Google : Nom : Courbe de data scientist.PNG Affichages : 1149 Taille : 8,8 Ko C’est d’ailleurs officiel, on trouve maintenant des postes de Data Scientist dans de nombreuses entreprises. Les compétences d’un Data Scientist ont été très dures à définir au point que l’on se demandait si un profil pareil était capable d’exister. Les compétences reconnues aujourd’hui d’un Data Scientist sont de bonnes connaissances en mathématiques et notamment en statistiques, une réelle compétence en informatique pour développer ces logiciels, le tout complété par une très bonne connaissance du métier, car il doit réussir à analyser les enjeux commerciaux de son secteur et de son entreprise. Si on regarde bien, nous voyons donc que deux facettes du Data Scientist sont les mêmes que lorsqu’on décrit ce qu’est un Business Architect. Alors rêve ou réalité ? Le Business Architect serait-il un vrai mouton à cinq pattes ? Une chimère qui n’existe pas ? Avec l’émergence de Citizen Developer au sens large et la réalité du métier de Data Scientist, nous sommes en droit de penser que nous ne sommes plus très loin du Business Architect décrit par Quentin Adam. Une fois que ce profil sera devenu courant, les applications développées en dehors de la DSI fleuriront encore plus, car le métier sera en mesure de répondre seul à ses propres besoins. Les solutions SaaS Les solutions cloud sont de plus en plus plébiscitées par les DSI, mais aussi directement par les métiers. Souvenez-vous que les SSII et les éditeurs s’adressent maintenant directement au client final, justement afin de ne pas s’embarrasser des règles de la DSI. Ces solutions cloud sont souvent associées à l’agilité dans l’entreprise parce que les offres disponibles sont facilement paramétrables et flexibles (ce qu’on appelle souvent « scallability »). En plus de cette agilité technique offerte directement au métier, nous trouvons dans les solutions SaaS une agilité d’un point de vue contractuel. C’est-à-dire que pour un besoin temporaire, on peut décider de contracter une solution SaaS qui sera ensuite facile à arrêter quand le besoin ne sera plus là. En réalité le Shadow IT est présent parfois pour répondre à des besoins temporaires, les utilisateurs ne voient pas l’utilité de contacter la DSI, qui sera vue comme trop lente. S’outiller soi-même est aujourd’hui de plus en plus facile, car nous le faisons même dans notre vie personnelle et pour les besoins temporaires, le métier ne s’en prive pas. D’une certaine façon tant mieux, cette indépendance peut libérer la DSI sur des sujets plus importants. L’autonomie que gagne le métier sur les cas simples de solutions informatiques est un gain de temps et d’argent pour la DSI. Le système d’information sclérosé Le métier cherche à regagner de l’agilité, perdue par un système d’information de plus en plus sclérosé par son évolution rapide et empirique. Ainsi, il est difficile aujourd’hui pour la DSI d’ajouter à son système d’information un nouveau service pour répondre à une nouvelle demande à cause de toutes les conditions qu’une solution doit remplir pour être intégrée dans le système d’information. Les solutions issues du Shadow IT, elles n’ont pas tant de contraintes pour être mises en place (la seule est en général de répondre au besoin de l’utilisateur). C’est ce qui permet de les caractériser comme agiles pour le métier. L’agilité étant vitale pour le métier et l’entreprise, vouloir leur interdire toute forme de Shadow IT c’est un peu comme étouffer et condamner l’entreprise sur son marché. Face à un système d’information si peu agile, la Shadow IT est la seule solution disponible pour le métier. Toute autre démarche qui permet d’avoir un système d’information agile est en règle générale dans les mains de la DSI. Le dimensionnement de la DSI Un des problèmes fondamentaux que fait ressortir le Shadow IT c’est qu’il est le symptôme bien souvent d’une DSI qui manque de ressources pour satisfaire les besoins. Ce manque de moyens se traduit par des solutions plus longues à mettre en place. Et comme nous l’avons vu, le métier n’aime pas beaucoup attendre les solutions dont il a besoin. La taille de la DSI joue donc bien un rôle dans le développement du Shadow IT. Dans l’enquête de Thomas Chejfec qui a suivi sa thèse, montre qu’en effet quand la DSI représente moins de 1 % de l’entreprise, le Shadow IT est élevé. Son taux le plus bas est avec un effectif de 1 à 2 % de l’entreprise (rapport de Thomas Chejfec déjà cité fait en 2012 : http://chejfec.com/2012/12/18/result...ete-shadow-it/). Cependant ces légères variations n’expliquent pas pourquoi et comment naît ce phénomène. Nous pouvons conclure de ces chiffres que le Shadow IT peut être donc aussi vu comme une solution choisie par les DSI. Quand la DSI découvre des cas de Shadow IT et ne fait rien, le phénomène a tendance à croitre, mais choisir d’ignorer le Shadow IT peut justement aller de pair avec les DSI sous dimensionnée. En conclusion Face à un système d’information géré par les DSI de moins en moins agiles, le métier, pour continuer à avancer trouve des solutions de contournement bien souvent par le cloud, mais commence aussi à réinventer le mode de fonctionnement de l’entreprise. Pour le métier, la DSI n’est plus la seule instance capable de fournir un service. Le métier commence même à acquérir les compétences nécessaires pour réaliser leur propre solution, compétence qui était auparavant seulement disponible auprès de la DSI. Si la DSI doit réussir à se renouveler en s’orientant plus vers le conseil que la réalisation, le métier doit lui aussi apprendre à acquérir de nouvelles compétences pour être plus agile que leur concurrent. La DSI est donc encore importante pour le métier notamment les anciennes générations qui ne pourront pas s’en passer tout de suite, mais elle va devoir composer son système d’information avec une nouvelle génération d’utilisateurs métier qui fera de moins en moins appel à elle. Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Viadeo Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Twitter Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Google Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Facebook Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Digg Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Delicious Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog MySpace Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Yahoo Mis à jour 29/04/2016 à 08h16 par ClaudeLELOUP Catégories Le coin du Shadow IT , Management du Système d'information Envoyer ce billet à un ami Envoyer ce billet à un ami « À la chasse des besoins métier Liste des billets Commentaires Avatar de autran autran - 28/04/2016 18h57 |permalink Très bon billet. Il officialise le shadow et lui offre un versant maitrisable. Mais quel nom donnerait-on à ces outils que les développeurs de l'ombre peuvent utiliser? Ces outils donnés par la DSI (transfert de fichiers - messagerie...). Ce serait un espèce d'intergiciel commun permettant de construire des outils ad hoc. Peut-être que la gestion de la sécurité passerait par la maitrise de ces briques communes. Il faudrait sortir une codding guideline pour cet intergiciel. Attention quand même, les développeurs ne sont pas morts. Attendons une vingtaine d'années avant de les enterrer. On en a jamais autant recruté. en effet, ceux qui ne sont plus recrutés en DSI le sont par les SSII Mis à jour 29/04/2016 à 08h20 par ClaudeLELOUP Avatar de MarieKisSlaJoue MarieKisSlaJoue - 28/04/2016 19h27 |permalink Le nom que l'ont peut donner à ces intergiciels comme tu dis je les nomme personnellement "plateforme". C'est-à-dire des logiciels qui permettent d'offrir toute une liste de macro services qui en soit n'ont pas un but métier, mais qui composés ensemble permettent de créer un logiciel métier. On a de plus en plus de plateformes, certaines qui peuvent être utilisées conjointement entre le métier et la DSI. Voir par exemple http://generativeobjects.com/ d'autres appartiennent encore au monde IT, mais clairement ce sont des plateformes. En exemple http://www.microstrategy.com/fr Cependant je ne suis pas aussi catégorique que Quentin Adam quand il parle de Business Architect qui remplaceront le métier de développeur (Ou alors ça sera les développeurs qui évolueront vers ce rôle). Mais ce qui est sûr c'est qu'un développeur aujourd'hui ça englobe bcp de styles différents, en dehors des Développeurs front, back ou fullstack, on se retrouve aussi maintenant avec des Data Scientist, des indépendants qui créent leur startup (qui ressemble à une définition du Business Architect selon moi) ou leur app le dimanche et les Citizen Developer. Donc je ne pense pas qu'on enterrera les développeurs même dans 20 ans, mais je pense que leur place dans l'organisation va carrément bouger. Mis à jour 29/04/2016 à 08h25 par ClaudeLELOUP

Essai

[Actualité] Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist Note : 3 votes pour une moyenne de 5,00. 2 Commentaires Aller au premier nouveau commentaire par MarieKisSlaJoue , 26/04/2016 à 09h30 (125 Affichages) L’agilité est de plus en plus recherchée par les entreprises. L’informatique essaye elle aussi de l’être de plus en plus pour répondre aux besoins du métier et pour y parvenir, plusieurs techniques se sont développées. Cependant, même si des méthodologies se sont développées, la DSI reste d’un point de vue du métier souvent considérée comme un frein. De plus, certains besoins métier sont très ponctuels, les métiers sont donc peu enclins à laisser la DSI proposer une solution qui pourrait mettre du temps à arriver et sans être aussi efficace que souhaitée. Pour faire face à cette problématique, les métiers ont donc commencé à élaborer une nouvelle façon de consommer de l’informatique. Quelles sont-elles et pourquoi la DSI n’arrive pas à faire aussi bien, sont les réponses que nous tenterons d’apporter. Le citizen developer On sait qu’une des solutions pour une entreprise d’être agile, c’est de passer par des prestataires que l’on peut arrêter assez rapidement quand on n'en a plus besoin. Un concept intéressant est arrivé ces derniers temps, il s’agit du « Citizen Developer » Le Citizen Developer est un utilisateur final qui crée une application avec les outils offerts par la DSI. Imaginez que la DSI offre des services tels que le transfert de fichiers ou du stockage de données, le métier peut alors très bien avec son Citizen Developer créer une application métier en toute sécurité qui utilise ces services approuvés. Par définition le Citizen Developer est très proche du métier, il lui est rattaché directement. Cette proximité, que n’a pas forcément la DSI, permet aux petites solutions d’être développées facilement et de façon sûre, car avec l’infrastructure de la DSI. La ressource externe pourra être très vite congédiée, en revanche l’application qu’elle aura développée pourra être conservée et maintenue par la DSI, car elle reposera sur les technologies maitrisées de l’entreprise. Le Citizen Developer va devenir de plus en plus présent dans les entreprises, Quentin Adam, CEO Clever Cloud a dit lors de sa conférence Web2day 2015 que tout comme le métier de dactylographe n’existe plus de nos jours, le métier de développeur finira lui aussi par ne plus être nécessaire. « Développer, c’est une compétence que les gens vont acquérir » (Conférence de Quentin Adam lors du Web2day en 2015 intitulé « L'évolution de l'industrie informatique » : ). Rien ne dit toutefois que nous passerons très vite de l’état actuel à celui de métier composé de « Business Architect » comme Quentin Adam aime les appeler. Cependant si nous prenons l’exemple des nouveaux métiers de l’informatique qui commencent à apparaitre, on découvre de nouveaux types de profils qui pourraient bien être les Business Architect de demain. Le métier de Data Scientist est par exemple très récent. Le terme s’est fait connaitre en 2008 (voir le livre écrit par Pirmin Lemberger, Marc batty Médéric Model et Jean-Luc Raffaëlli « Big Data et machine learning » : Chapitre 5 le quotidien du Data Scientist) quand DJ Patil et Jeff Hammerbacher, employé chez Facebook et Linkedin se sont autoproclamés Data Scientist. Depuis 2012, on constate que la courbe de popularité de ce mot ne cesse d’augmenter. Courbe de popularité du mot Data Scientist sur Google : Nom : Courbe de data scientist.PNG Affichages : 1149 Taille : 8,8 Ko C’est d’ailleurs officiel, on trouve maintenant des postes de Data Scientist dans de nombreuses entreprises. Les compétences d’un Data Scientist ont été très dures à définir au point que l’on se demandait si un profil pareil était capable d’exister. Les compétences reconnues aujourd’hui d’un Data Scientist sont de bonnes connaissances en mathématiques et notamment en statistiques, une réelle compétence en informatique pour développer ces logiciels, le tout complété par une très bonne connaissance du métier, car il doit réussir à analyser les enjeux commerciaux de son secteur et de son entreprise. Si on regarde bien, nous voyons donc que deux facettes du Data Scientist sont les mêmes que lorsqu’on décrit ce qu’est un Business Architect. Alors rêve ou réalité ? Le Business Architect serait-il un vrai mouton à cinq pattes ? Une chimère qui n’existe pas ? Avec l’émergence de Citizen Developer au sens large et la réalité du métier de Data Scientist, nous sommes en droit de penser que nous ne sommes plus très loin du Business Architect décrit par Quentin Adam. Une fois que ce profil sera devenu courant, les applications développées en dehors de la DSI fleuriront encore plus, car le métier sera en mesure de répondre seul à ses propres besoins. Les solutions SaaS Les solutions cloud sont de plus en plus plébiscitées par les DSI, mais aussi directement par les métiers. Souvenez-vous que les SSII et les éditeurs s’adressent maintenant directement au client final, justement afin de ne pas s’embarrasser des règles de la DSI. Ces solutions cloud sont souvent associées à l’agilité dans l’entreprise parce que les offres disponibles sont facilement paramétrables et flexibles (ce qu’on appelle souvent « scallability »). En plus de cette agilité technique offerte directement au métier, nous trouvons dans les solutions SaaS une agilité d’un point de vue contractuel. C’est-à-dire que pour un besoin temporaire, on peut décider de contracter une solution SaaS qui sera ensuite facile à arrêter quand le besoin ne sera plus là. En réalité le Shadow IT est présent parfois pour répondre à des besoins temporaires, les utilisateurs ne voient pas l’utilité de contacter la DSI, qui sera vue comme trop lente. S’outiller soi-même est aujourd’hui de plus en plus facile, car nous le faisons même dans notre vie personnelle et pour les besoins temporaires, le métier ne s’en prive pas. D’une certaine façon tant mieux, cette indépendance peut libérer la DSI sur des sujets plus importants. L’autonomie que gagne le métier sur les cas simples de solutions informatiques est un gain de temps et d’argent pour la DSI. Le système d’information sclérosé Le métier cherche à regagner de l’agilité, perdue par un système d’information de plus en plus sclérosé par son évolution rapide et empirique. Ainsi, il est difficile aujourd’hui pour la DSI d’ajouter à son système d’information un nouveau service pour répondre à une nouvelle demande à cause de toutes les conditions qu’une solution doit remplir pour être intégrée dans le système d’information. Les solutions issues du Shadow IT, elles n’ont pas tant de contraintes pour être mises en place (la seule est en général de répondre au besoin de l’utilisateur). C’est ce qui permet de les caractériser comme agiles pour le métier. L’agilité étant vitale pour le métier et l’entreprise, vouloir leur interdire toute forme de Shadow IT c’est un peu comme étouffer et condamner l’entreprise sur son marché. Face à un système d’information si peu agile, la Shadow IT est la seule solution disponible pour le métier. Toute autre démarche qui permet d’avoir un système d’information agile est en règle générale dans les mains de la DSI. Le dimensionnement de la DSI Un des problèmes fondamentaux que fait ressortir le Shadow IT c’est qu’il est le symptôme bien souvent d’une DSI qui manque de ressources pour satisfaire les besoins. Ce manque de moyens se traduit par des solutions plus longues à mettre en place. Et comme nous l’avons vu, le métier n’aime pas beaucoup attendre les solutions dont il a besoin. La taille de la DSI joue donc bien un rôle dans le développement du Shadow IT. Dans l’enquête de Thomas Chejfec qui a suivi sa thèse, montre qu’en effet quand la DSI représente moins de 1 % de l’entreprise, le Shadow IT est élevé. Son taux le plus bas est avec un effectif de 1 à 2 % de l’entreprise (rapport de Thomas Chejfec déjà cité fait en 2012 : http://chejfec.com/2012/12/18/result...ete-shadow-it/). Cependant ces légères variations n’expliquent pas pourquoi et comment naît ce phénomène. Nous pouvons conclure de ces chiffres que le Shadow IT peut être donc aussi vu comme une solution choisie par les DSI. Quand la DSI découvre des cas de Shadow IT et ne fait rien, le phénomène a tendance à croitre, mais choisir d’ignorer le Shadow IT peut justement aller de pair avec les DSI sous dimensionnée. En conclusion Face à un système d’information géré par les DSI de moins en moins agiles, le métier, pour continuer à avancer trouve des solutions de contournement bien souvent par le cloud, mais commence aussi à réinventer le mode de fonctionnement de l’entreprise. Pour le métier, la DSI n’est plus la seule instance capable de fournir un service. Le métier commence même à acquérir les compétences nécessaires pour réaliser leur propre solution, compétence qui était auparavant seulement disponible auprès de la DSI. Si la DSI doit réussir à se renouveler en s’orientant plus vers le conseil que la réalisation, le métier doit lui aussi apprendre à acquérir de nouvelles compétences pour être plus agile que leur concurrent. La DSI est donc encore importante pour le métier notamment les anciennes générations qui ne pourront pas s’en passer tout de suite, mais elle va devoir composer son système d’information avec une nouvelle génération d’utilisateurs métier qui fera de moins en moins appel à elle. Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Viadeo Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Twitter Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Google Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Facebook Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Digg Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Delicious Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog MySpace Envoyer le billet « Du Citizen Developer au Business Architect en passant par le Data Scientist » dans le blog Yahoo Mis à jour 29/04/2016 à 08h16 par ClaudeLELOUP Catégories Le coin du Shadow IT , Management du Système d'information Envoyer ce billet à un ami Envoyer ce billet à un ami « À la chasse des besoins métier Liste des billets Commentaires Avatar de autran autran - 28/04/2016 18h57 |permalink Très bon billet. Il officialise le shadow et lui offre un versant maitrisable. Mais quel nom donnerait-on à ces outils que les développeurs de l'ombre peuvent utiliser? Ces outils donnés par la DSI (transfert de fichiers - messagerie...). Ce serait un espèce d'intergiciel commun permettant de construire des outils ad hoc. Peut-être que la gestion de la sécurité passerait par la maitrise de ces briques communes. Il faudrait sortir une codding guideline pour cet intergiciel. Attention quand même, les développeurs ne sont pas morts. Attendons une vingtaine d'années avant de les enterrer. On en a jamais autant recruté. en effet, ceux qui ne sont plus recrutés en DSI le sont par les SSII Mis à jour 29/04/2016 à 08h20 par ClaudeLELOUP Avatar de MarieKisSlaJoue MarieKisSlaJoue - 28/04/2016 19h27 |permalink Le nom que l'ont peut donner à ces intergiciels comme tu dis je les nomme personnellement "plateforme". C'est-à-dire des logiciels qui permettent d'offrir toute une liste de macro services qui en soit n'ont pas un but métier, mais qui composés ensemble permettent de créer un logiciel métier. On a de plus en plus de plateformes, certaines qui peuvent être utilisées conjointement entre le métier et la DSI. Voir par exemple http://generativeobjects.com/ d'autres appartiennent encore au monde IT, mais clairement ce sont des plateformes. En exemple http://www.microstrategy.com/fr Cependant je ne suis pas aussi catégorique que Quentin Adam quand il parle de Business Architect qui remplaceront le métier de développeur (Ou alors ça sera les développeurs qui évolueront vers ce rôle). Mais ce qui est sûr c'est qu'un développeur aujourd'hui ça englobe bcp de styles différents, en dehors des Développeurs front, back ou fullstack, on se retrouve aussi maintenant avec des Data Scientist, des indépendants qui créent leur startup (qui ressemble à une définition du Business Architect selon moi) ou leur app le dimanche et les Citizen Developer. Donc je ne pense pas qu'on enterrera les développeurs même dans 20 ans, mais je pense que leur place dans l'organisation va carrément bouger. Mis à jour 29/04/2016 à 08h25 par ClaudeLELOUP

samedi 30 avril 2016

Erlang et mnésia

Environ 15 résultats (0,47 secondes) Résultats de recherche #mnésia hashtag on Twitter https://twitter.com/hashtag/mnésia - Traduire cette page Dear #Erlang people, I'm using #Mnesia and I want to check a condition before ... data store implementations I developed in Erlang #list #queue #ets #mnesia ... [PDF]Ingénieur Développeur C/Erlang - barbot.org www.barbot.org/cv_fr_julien_barbot.pdf Ajout de fonctionnalités et optimisations du logiciel serveur (Erlang) d'interfaçage ... d'un proxy/cache MySQL répliqué, en Erlang, utilisant la réplication Mnésia. Persistance polymorphe - Barre Verte www.barreverte.fr/persistance-polymorphe 29 nov. 2011 - ... citer d'ailleurs BerkeleyDB (1986), base clé-valeur utilisée sur un nombre de projet impressionnant, et mnésia, base de tuples/records erlang ... [PDF]TP Systèmes distribués - Free ludovic.meurillon.free.fr/explorer/data/Archives%20Cours/.../Rapport.pd... 8 juin 2006 - 1.7 Aperçu des données stockées dans Mnésia . ... 1Pour de plus amples informations sur le langage Erlang et sa plate-forme OTP reportez-. Amnesia (disambiguation) - Wikipedia, the free encyclopedia https://en.wikipedia.org/.../Amnesia_(disambiguation) Traduire cette page Amnesia refers to a variety of conditions in which memory is lost or disturbed. Amnesia may also refer to: Contents. [hide]. 1 Film and television; 2 Literature; 3 Music. 3.1 Albums; 3.2 Songs. 4 Video games; 5 See also. Film and television[edit]. Amnesia (1994 film), a 1994 Chilean film; Amnèsia (2002 film), a 2002 Italian ... database management system written in the Erlang programming language ... Videos about “mnesia” on Vimeo https://vimeo.com/tag:mnesia - Traduire cette page mnesia + leveldb: liberating mnesia from the limitations of DETS - Mikael Pettersson - Erlang User Conference 2015. 6 months ago ... Mnésia (curta-metragem). mnesia - Findeen.com www.findeen.co.uk › Search › Directory › mnesia - Traduire cette page The latest Tweets from Mnésia (@Kwyz3). ... Mnesia - An Industrial DBMS with T - Erlang ... Erlang/OTP distributed relational/object hybrid database. Mnesia is a ... Menesia cana - ANIMALIA annimalia.com/.../animalia_arthropoda_insecta_coleo... Traduire cette page The latest Tweets from Mnésia (@Kwyz3). Tim B - Shahed ♥-. ... implemented ... A chat cluster based on ejabberd with custom Erlang and Mnesia modules. mnesia - Findeen.com www.findeen.fr › Rechercher › Annuaire mensia conseil mnesis médicament amnésique définition mnesis mesiano beaulieu mnésique mediapart mensia beaulieu, mnesis, mnésique, mesiano, ... erlang mnesia - Búsqueda www.findeen.es › Búsqueda › Directorio › mnesia Traduire cette page mnesia create table mnesia 分布式 mnesia database mnesia unexpectedly running mnesia 性能 mnesia not running mnesia dirty write mnesia用户手册 mnesia ...

Le langage ada

Présentation[modifier | modifier le code] Ada1 est un langage de programmation conçu par l’équipe de CII-Honeywell Bull dirigée par Jean Ichbiah en réponse à un cahier des charges établi par le département de la Défense des États-Unis (DoD). Son développement a commencé au début des années 1980 pour donner Ada 83. Pour cela, l'équipe de Jean Ichbiah s'est inspirée de son précédent langage LIS (Langage d'Implémentation de Systèmes), conçu à la CII pour permettre le développement de systèmes d'exploitation portables (à 95 %, disait Ichbiah). Ada 83 a été ensuite repris et amélioré au milieu des années 1990 pour donner Ada 95, le second langage objet normalisé de manière internationale (publié en février 1995, il est précédé de peu par Common Lisp, publié en décembre 1994). Sous les auspices de l’Organisation internationale de normalisation (ISO), le langage a bénéficié d'un amendement (Ada 2005) puis d'une nouvelle révision appelée Ada 2012. Le nom Ada a été choisi en l’honneur d’Ada Lovelace, sans doute la première informaticienne de l’histoire. Il est associé à la couleur verte car, lors de l’appel d’offre du DoD, les différentes propositions étaient désignées par des couleurs pour éviter tout biais, et l’équipe qui l’a conçu était l’équipe verte. Voici quelques particularités d’Ada : typage statique ; module par les paquetages et contrôle fin de la visibilité ; syntaxe claire et non ambiguë (inspirée de celle du langage Pascal) ; généricité ; multi-tâche ; traits temps réel intégrés au langage (tâches, objets protégés, interruptions) ; bibliothèques normalisées ; liens avec les autres langages ; annexes temps réel avec le Profil Ravenscar pour les systèmes sûrs ; le document de la norme ISO est librement téléchargeable (voir ci-dessous). Il est souvent utilisé dans des systèmes temps réel et embarqués nécessitant un haut niveau de fiabilité et de sécurité. De nos jours, Ada est employé bien sûr par son initiateur, mais aussi dans toutes les technologies de pointe : en France, l’automobile, les transports ferroviaires (Alstom, Siemens Mobility, Ansaldo STS), les technologies aéronautiques (Thales Air Systems, Thales Avionics, Airbus, EADS Défense et sécurité) et les technologies spatiales (Thales Alenia Space, EADS Astrium, CNES, Arianespace). En 2013, il est possible de trouver des compilateurs Ada pour certains systèmes d’exploitation (Windows, Linux, VxWorks) et architectures matérielles, y compris un compilateur libre (GNAT, inclus dans GNU Compiler Collection) compilant de l’Ada 83/95/2005/2012. Ada est parfois utilisé en introduction aux cours de programmation informatique avancée2, et il peut être utilisé pour les cours d'introduction à la programmation3. Autres langages dans la mouvance Ada[modifier | modifier le code] Ada est inspiré du Pascal dont il a repris tant l'esprit de la syntaxe que de l'architecture. Le langage Ada a inspiré Bertrand Meyer pour la conception du langage Eiffel, qui y ajoute des notions de programmation par contrat (mais se montre moins adapté à l'industrie sous certains aspects). La notion de programmation par contrat, formalisée par Bertrand Meyer avec Eiffel, a amené la création d'une extension au langage Ada, SPARK (en), pour lui faire supporter des notations permettant d'exprimer des assertions contractuelles dans les spécifications. La programmation par contrat (des sous-programmes ou des types d'objets) est désormais intégrée dans la version Ada 2012. Ada a inspiré le langage PL/SQL dans le domaine des bases de données, ainsi que le langage VHDL pour les architectures matérielles. Le langage Ada est également à la base de la conception des différents langages de la norme CEI 61131-3, en particulier la partie déclarative commune à tous les langages et le langage ST (texte structuré). "Hello, world!" en Ada 95 ou Ada 2005[modifier | modifier le code] Un exemple courant pour montrer la syntaxe d’un langage est le programme Hello world : with Ada.Text_IO; -- Bibliothèque -- Déclaration de la procédure "Hello" procedure Hello is begin -- Imprimer "Hello, world!" à l'écran Ada.Text_IO.Put_Line("Hello, world!"); end Hello; Il existe des raccourcis pour Ada.Text_IO.Put_Line nécessitant moins de caractères, mais ils ne sont pas utilisés ici pour des raisons de compréhension. Pour des explications plus détaillées, vous pouvez consulter Wikibooks:Ada Programming/Basic. Bref historique[modifier | modifier le code] 1974 : le département de la Défense américain s'aperçoit qu’il gaspille énormément d’argent en utilisant grosso modo un langage de programmation par application, et en entretenant des programmes écrits dans des langages obsolètes endémiques ou exotiques. Certaines sources avancent le chiffre de 500 langages de programmation employés en ces lieux. Le résultat de cette prise de conscience est l’élaboration, en trois ans, du cahier des charges d’un langage unique, suffisamment souple et puissant pour remplacer tous les autres, que ce soit pour le guidage de missiles ou les travaux sur l’intelligence artificielle en passant par les applications de gestion. 1977 : le département lance un appel d’offres, remporté par une équipe dirigée par le Français Jean Ichbiah. 1980 : Jean Ichbiah fonde la compagnie Alsys (Ada Language Systems). 1983 : Ada83 est normalisé aux États-Unis par l’ANSI (ANSI/MIL-STD-1815A-1983). 1987 : Ada83 fait l’objet de la norme internationale ISO 8652:1987. 1990 : à partir des améliorations apportées par les différents développeurs de compilateurs, l’Ada Joint Program Office lance un projet de révision du langage. 1991 : Alsys est revendu à Thomson-CSF et devient TSP. 1992 : un contrat est passé entre le comité de révision (Ada9X Program Office) et l’Université de New York pour le développement d’un compilateur de référence pour le nouveau langage, qui sera librement disponible. Ce compilateur, GNAT, est basé sur la technologie GCC de GNU. 1994 : la société Ada Core Technologies (aujourd’hui AdaCore) est fondée par les membres du projet GNAT pour poursuivre la maintenance du compilateur et en assurer la commercialisation et le support. 1995 : la révision tant attendue arrive à son terme, Ada95 voit le jour. Une norme révisée est publiée, ISO/CEI 8652:1995. Ada95 est le premier langage qui met en œuvre la programmation orientée objet à faire l’objet d’une norme internationale. Le compilateur GNAT couvre l’intégralité de la norme Ada95, y compris l’ensemble de ses annexes optionnelles. 1996 : TSP devient Aonix4. 2000 : l’Ada Conformity Assessment Authority (ACAA) publie un ensemble de corrections mineures accumulées au cours des cinq années précédentes : le Technical Corrigendum 1. 2003 : un rapport du Software Engineering Institute (en) prédit la mort du langage Ada malgré sa supériorité sur les autres. 2007 : l'ISO publie l'Amendement 1 au langage qui introduit de nouvelles fonctions et officialise de nombreuses améliorations proposées initialement par les différents développeurs de compilateurs. Cette version du langage porte le nom d'Ada 2005, année durant laquelle l'Amendement fut figé pour publication par l'ISO. 2012 : l'ISO publie une nouvelle révision de la norme (Ada 2012), qui apporte notamment des facilités syntaxiques, la programmation par contrat, le support des architectures multi-cœurs, et une extension de la bibliothèque prédéfinie.

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